List of products by brand Zublena Charles

Charles Zublena est né le 4 avril 1910 à Viverone en Italie. Il se forme durant quatre années d'apprentissage aux métiers d'ébéniste et de sculpteur. Il obtient en 1927/28/29, dans une école de dessin, plusieurs prix et un diplôme d'honneur. Arrivé en France en 1930, il s'inscrit aux cours du soir de l'école Boulle et des arts appliqués.

A l'issue de la guerre, il créé son atelier d'ébénisterie, et commence à participer a de nonbreuses expositions d'art en France et à l'étranger, et en particulier à plusieurs Salons des Artistes Décorateurs. Il sera élu en 1972 au comité directeur de la SAD.

Par sa formation originelle d'ébéniste, il témoigne d'une connaissance approfondie du bois dont il tire des réalisations remarquables d'inventivité et de technique.

Très tôt, il explore les possibilités du métal avant de s'affronter aux matières plastiques devenant ainsi un des premiers "DESIGNER" francais. 

Au milieu des années 60, il réalise ses premières oeuvres en plastique à partir de son " RELAX" constitué de pièces en bois massif assemblées.

Le «EUROLAX R1» dessiné spécialement pour le «Club Med» en 1965 équipera toutes les plages du Club, la fabrication de cette chaise s’arrêtera en 1980.

Cette réalisation exceptionnelle attirera l'attention du ministre de la culture André Malraux au 43ème salon SAD.
Dans ses dernières années, il veut renouer avec son métier d'origine et obtient par deux fois le titre de meilleur ouvrier de France. Il est fait chevalier de l'ordre national du mérite en 1979.

«EUROLAX R1» dessiné par Charles Zublena spécialement pour le «Club Med» en 1965 équipera toutes les plages du Club, la fabrication de cette chaise s’arrêtera en 1980.
Dans les années 60, la croissance économique et la hausse du pouvoir d’achat favorisent l’enrichissement de la «classe moyenne» qui va contribuer au développement du tourisme de masse et de la civilisation des loisirs. Les vacances de cette «classe moyenne» seront immortalisées par Jacques Tati dans «Les Vacances de M. Hulot».